Aurélien Imbert (1973), diplômé de l’école des Beaux-Arts de Valenciennes, a exposé dans les Jardins du Sénat au Palais du Luxembourg à Paris, aux musées des Beaux-Arts de Calais ou de Belfort, etc.
Je suis issu d’une famille de commerçants du bâtiment. Donc, pour les matériaux, je me concentre sur le bois, le métal et le béton. Contrairement à Marcel Duchamp qui prenait des objets du quotidien pour les amener dans l’art, j’essaie de créer un objet du quotidien avec les codes de l’art. Je suis à la frontière entre les deux et mon inspiration brouille les pistes.
La Cabane de plaisirs montre un volume à la frontière de l’objet, du socle et de l’habitacle. Cette sculpture simple, à la construction dévoilée, s’intègre dans l’environnement avec sa toiture végétalisée, et son encombrement moyen.